Certes, pourquoi pas Gérone, certes, oui, mais Barcelone, pourtant Vic, au nord de la Catalogne espagnole a du charme à revendre, tellement de charme que nous avons eu du mal à quitter cette petite ville. Il faut dire qu’une petite mésaventure a contribué à retarder notre départ…(*)
Une Plaza Major en terre battue entourée d’arcades soutenant des maisons et des édifices publics de différentes époques mais qui se marient bien entre elles, des ruelles étroites et en pente, des enfants qui jouent gentiment dehors sans surveillance : nous avons passé là quelques heures très agréables, presque hors du temps.
(*) Quand on est à l’étranger et que l’on veut garer sa voiture, il n’est pas toujours facile de savoir où l’on peut le faire (les codes en la matière sont loin d’être les mêmes partout). Ayant déjà eu l’occasion de visiter, par deux fois, les fourrières de la péninsule Ibérique (sans avoir vraiment encore compris pourquoi), nous avons fait preuve cette fois de la plus grande vigilance : bon emplacement, aux bons horaires, on aurait dû éviter les mauvaises surprises. Aussi, quand après quelques heures de visite nous avons constaté qu’elle n’était plus où nous l’avions laissée, nous avons naturellement pensé à un vol. Nous fûmes immédiatement contredits par la commerçante voisine à qui nous avions demandé de l’aide : « il n’y a pas de vols à Vic ! ». Elle avait raison : là encore, notre voiture avait été enlevée par la maréchaussée (ce qui nous a tout de même soulagés par rapport à la première hypothèse). Cette fois, j’étais bien décidée à comprendre. Après moult discussions rendues difficiles par mon espagnol aléatoire et l’usage intermittent du catalan par le policier de service, on nous informe que nous étions stationnés sur un emplacement pour handicapés. Mon sang n’a fait qu’un tour : jamais au grand jamais nous ne faisons cela. Je pouvais donc jurer mes grands dieux que c’était inexact. Je devais avoir l’air convaincant car le policier est allé aux renseignements plutôt que de m’envoyer balader, et nous avons eu le fin mot de l’histoire. Nous avions oublié (enfin, Patrick avait oublié…) de mettre le frein à main et, la rue étant en pente, notre voiture avait avancé pour moitié vers la place précédant la nôtre, réservée aux handicapés. La Guardia urbana de Vic en rigole encore. Nous aussi, enfin, un peu…
Sacré Patrick. Autant d’anticipation, c’est du grand art. Autant de générosité pour alimenter un blog et nous faire rire. Il est vraiment trop fort.
Cette histoire m’en rappelle une autre…mémorable.
Elle a été raconté par Christian et date de 2007 !
Le frein à main, pourtant serré n’avait pas suffit!
Une soirée inoubliable!
http://senioractif.over-blog.com/archive-5-30-2007.html
PS : J’aime beaucoup la première photo.
Belle fin de semaine.
salut a tous je suis DE MAROC .moi aussi j ai visité vic de la region catalan cé ma premier visite a l europe et aussi le sud de france j ai vu toulouse y perpignan ja i constaté une large différence tant au niveau de la mentalité que au niveau des cultures des coutumes ; bien que la region catalan – yurit de mar, costa brava, costa de oro ….vic, girona – a des opportunités d attiré une plus grand quantité de visiteurs; montagne. mer, infrastructure… ke la sud de france ; malgré ceci les catalans sont un peu enfermé mal communication des autre langue car il veulent que leur propre langue pour parlé d autre coté il voient mal a des etranger j en sai pa pq ; peut etre il est l un des region les plus preferé pour les immegrants illégal d afrique particulierment, ca sera repercusion negatif l image de la region au regard des autres etranger il faut renforcer l intégration des immegrants dans la vie social economique de la region ; de facon general j ai passé des bon moment une semaine inoubliable ; au sud de france j ai vu l inverse sont ouvert sur des autre bon comminication des autre langue plus civilisé 3 jours a toulouse 1 perpignan ; enfin le retour au maroc bey ma 1er conquête de l europe a la prochains fois byyeeeeeeeeee
[…] Lucques, ses remparts, sa place circulaire, mini réplique de celle de Sienne ou – comparaison à peine plus osée – de Vic, Catalunya. […]
[…] (Pour les détails voir le blog de « l’historienne » Dominique Boy-Mottard à la date du 27 février 2009) mais qui, passée au filtre du talent de Frédérique Grégoire-Concas et Bernard Gaignier, fut le […]