La Cité des Arts et des Sciences à Valencia, ça décoiffe ! Je ne crois pas avoir jamais vu un ensemble architectural contemporain à la fois aussi grandiose et aussi pertinent par rapport à son objet : le regroupement d’une demi-douzaine de lieux dédiés à l’art et à la science.
Cela donne deux petits frères de l’opéra de Sydney (eh oui, John !), un cousin éloigné de la grande halle de la Vilette devenue mille-pattes, un pont aérien en forme de lyre, un parking-palmeraie-galerie d’art, et de larges pièces d’eau aux couleurs pastel qui jouent avec le chaos finalement très ordonné des bâtiments.
C’est un peu comme si le futur nous avait donné rendez-vous à Valence.
C’est Impressionnant en effet, J’adore l’arche avec les palmiers qui est si j’ai bien compris le parking ?
Sympathiques photos qui doivent (je l’espère) refléter un séjour à la hauteur !


Je suis également « touché » de voir que le style « Marina Baie des Anges » s’est exporté largement à Valence comme on peut le voir en fond sur ces photos :
Quel avancée formidable pour l’architecture européenne ! Encore une belle réussite azuréenne !
Bien compris, Môssieur Pilou, les parkings sont en-dessous et on ne les voit pas du tout.
Jean, il y a une différence considérable avec Marina Baie des Anges : les immeubles en question ne sont pas en front de mer et s’intègrent parfaitement dans le quartier.
Valencia 🙂
Terre exquise
Où la brise
Effeuille les fleurs d’oranger
Valencia
Doux rivage
Où le nuage
Emporte nos rêves légers
Valencia
Fleur perverse
Qui nous verse
Tous les parfums tour à tour
Je t’aime
Car j’eus le bonheur suprême
Dans ton paradis d’amour
Sur ta rive enchanteresse
Sous ton ciel si doux
J’ai connu l’ivresse
Du premier rendez-vous
C’est là que le coeur angoissé
Les yeux pleins de fièvre
J’ai laissé cueillir sur mes lèvres
Le premier baiser
(au Refrain)
Et depuis cette aventure
Pleurant sans raison
Toujours je murmure
Cette même chanson
Pour oublier je veux partir
Mais loin de Valence
Hélas la chanson recommence
Dans mon souvenir
(au Refrain)
Paroles: Lucien Boyer, Jacques Charles. Musique: José Padilla 1925 © Francis Salabert autres interprètes: Marcel Amont (1962)
Merci Valérie ! A la lecture des paroles, je pensais que je ne connaissais pas la chanson… Et puis grâce à André Verchuren et Youtube, je me suis souvenue qu’il arrivait à mon père de la chanter 🙂