En journée, le Bunker est plutôt calme et paisible. Son hall, ses escaliers, ses espaces ressemblent à ceux d’une cinémathèque géante parcourus en tout sens par les professionnels et les passionnés.
Le soir, il se transforme, sous les flashs crépitants en ruche de belles dames en robe de soirée et de beaux messieurs en smoking. Nous ne sommes pas des accros de la montée des marches à cette heure-là, préférant les séances du matin plus discrètes en compagnie des copains cinéphiles. Mais, une fois de temps en temps, pourquoi pas ?
Ce fut le cas hier soir pour la projection de « The artist », film à la mode du muet en noir et blanc qui marqua le triomphe de Jean Dujardin et du réalisateur Michel Hazanavicius. Histoire de vérifier qu’à l’extérieur, surgissant dans le nuit cannoise, le gigantesque bâtiment illuminé et mystérieux ressemble toujours autant au paquebot d’Amarcord. Et d’embrasser du regard le spectacle saisissant de la foule rassemblée autour du tapis rouge depuis l’intérieur du bâtiment qui conduit au mythique auditorium Lumière à l’heure de l’annonce de l’équipe du film.
Alors là Patrick tu m’épates et Dominique pourquoi on la voit pas, je suis sur qu’elle doit porter la robe longue avec charme et aisance.
Je vous embrasse tous les deux.
Merci de ta confiance, Chantal ! Il y aura peut-être une photo prochainement : sinon, promis, je t’en envoie une rien que pour toi !
Patrick en noeud pap, ça le fait…
James bond! (éclat de rire), pas moins…