Ce samedi 14 juin avait lieu la « Journée portes ouvertes » au collège Jules Valéri. Comme les autres années, j’ai été impressionnée par l’implication de tous dans cette manifestation : le personnel, les parents d’élèves et, bien sûr, les collégiens eux-mêmes.
Des obligations familiales ne m’ont pas permis d’y rester plus de deux heures, mais ces moments furent d’une grande richesse.
C’est ainsi que les élèves talentueux de Madame Pujo, petits et grands, nous ont régalés de « Morceaux choisis » tirés de pièces de Molière, des Fables de La Fontaine… Il y avait là de véritables artistes en herbe pour le plus grand bonheur d’une assistance très réactive – avec, au premier rang, le principal, Monsieur Ducrot, et son adjointe, Madame Bajeux – qui n’a pas boudé son plaisir.
Un moment fort dans cette matinée : celui où, avec un public de nombreux élèves et de quelques parents, j’ai assisté à la projection par Monsieur Philip, enseignant, de la vidéo réalisée avec les élèves de 3e du collège qui ont participé au voyage de la mémoire à Auschwitz. J’ai beaucoup regretté de n’avoir pu m’y rendre avec eux comme je l’avais fait précédemment avec les élèves du collège Henri Matisse. Dans la salle, plusieurs panneaux d’exposition étaient là pour expliquer l’univers concentrationnaire. Si ces voyages, organisés par le Conseil général, peuvent remplir leur but, c’est parce que les élèves y sont longuement préparés en amont par leurs professeurs, et parce qu’il y a ensuite ce travail de réflexion sur ce qu’ils ont vu qui leur permet de faire partager aux autres leur ressenti.
Cette journée était en même temps celle de la Science, ce qui est habituel au collège qui dispose, dans sa cour, d’un planétarium (il existe d’ailleurs une association du Planétarium Valéri). C’est avec beaucoup de passion que les élèves me parlent des planètes du système solaire à grand renfort de schémas et autres photos.
Mais il y a aussi à Valéri une « classe Environnement » (3e 2) qui, dans le prolongement de son projet « Lily la tortue », s’est consacrée cette année à la protection des espèces en Méditerranée. Ses travaux sont synthétisés dans leur revue « Ecolo Mag » intitulée « Réagir, c’est guérir ». L’enseignante qui suit ces travaux m’informe d’ailleurs de la participation de la classe au projet EUR-OCEANS.
Les préoccupations environnementales sont très présentes dans des stands informatifs et ludiques à la fois. C’est ainsi que plusieurs quiz sont proposés aux visiteurs (sur le recyclage du verre, sur le tri sélectif, …). Ailleurs on peut faire des expériences physiques : des élèves m’ont permis de constater que si l’eau pure n’était pas un excellent conducteur d’énergie, il en allait différemment quand elle était fortement minéralisée. Ou encore tout apprendre sur les rapaces nocturnes, les escargots, la flore de notre région. Partout il est question de sauver la planète : respecter la terre, ne pas polluer, ramasser les déchets…
C’est avec regret que j’ai dû partir, d’autant que je manquais les chorales qui, de l’avis unanime, allaient être un autre grand moment de la fête !
Les actions de ce genre devraient être davantage médiatisées. Si plus de personnes pouvaient voir ce qui se fait dans les collèges de la République, nul doute que notre société serait plus encline à l’indulgence. Dans des conditions souvent difficiles, les enseignants parviennent à communiquer leur enthousiasme à leurs élèves, à les éveiller aux joies de la découverte et de la connaissance. Et cet enthousiasme, je vous l’assure, est communicatif !
Pour en savoir plus sur le collège Valéri, n’hésitez pas à vous rendre sur son site, réalisé par les élèves, avec l’étroite collaboration des parents d’élèves, très impliqués aussi dans la vie de l’établissement.
Je laisse à Henri le soin de vous raconter une petite anecdote le touchant personnellement et relative au collège Valéri.
Scotché !!!
Impressionné par le boulot de tous, le sérieux visible des collégiens et l’enthousiasme photogénique.
C’est bien Dominique de partager et relayer ces initiatives ; ça donne le moral.
Henri va nous parler de sa jeunesse qui remonte à très très très longtemps!!!!!
Je plaisante mon père spirituel!
Je ne crois pas que la petite anecdote à laquelle tu fais allusion va intéresser grand monde mais puisque tu insistes je vais la redire. En effet dans la cour du Collège Valeri vous pouvez apercevoir un grand palmier. Ce palmier est mon palmier car il est le seul témoin qui reste du jardin et de la villa de mes parents où j’ai passé toute mon enfance, mon adolescence, mes première années de mariage et de père de famille , Plus important et plus sérieux, de cette cour vous pouvez voir la Villa » le Mirador » où vivait Antoine de Saint Exupéry et où il a écrit » Terre des hommes » et une partie du » Petit prince » . Cette villa appartenait à sa femme Consuelo qu’il a épousée à la mairie de Nice le 22 avril 1931. Henri COTTALORDA.
g adoré le théetre c psk gi é participé lol
grave a la chorale g u un bo coup de soleil sur les épaules
je me sui amusé de 9H A 18H
je passe kil fodré faire dé fetes de la science plu souvent pas ke une foi dans lannée
alor mon solo kan cété ? nn je rigole cété pouri
je c a cose de moi il a plu ne me gelé pa decu bon on va dire ke c pa grave
bravo a tous pr le theatre et la chorale
je vou aime tous sauf ……………………………………. mdr
bisous ronoly
Henry c’est notre Pilgrim father…
[…] 13 juin aura lieu la traditionnelle Fête du collège (qui se double toujours, à Valéri, d’une Fête de la Science). La chorale sera au programme de […]
[…] les murs et, bien sûr, le théâtre. Je n’ai pu assister à la représentation, contrairement à l’an dernier (pas plus qu’au spectacle de danse), mais, de l’avis unanime, les élèves préparés par […]
Monsieur Cottalorda,
Merci pour cette information.
Pourriez-vous, s’il vous plaît, nous indiquer l’adresse exacte de la maison de Consuelo où Saint-Exupéry a habité quelques temps?
Merci beaucoup.